Toutes des salopes !
Les femmes ne perdent pas de temps en préliminaires, bousculent les hommes, histoire de les décider, les prennent, les agrippent, leur tirent les cheveux, les giflent, les frappent, les violent.
Les femmes baratinent, bâillonnent, n’entendent pas, ne répondent pas aux hommes, n’en ont rien à foutre de ce qu’ils pensent, disent, manifestent ou expriment.
Les femmes passent leur temps à leur mettre, leur enfoncer des sexes, des gods, toujours géants, monstrueux, dans tous les trous, toujours plus loin, toujours plus fort ; elles passent en force, martèlent, culbutent les hommes, rentrent partout où elles le peuvent, leur doigt, leur main, dans l’anus, à un, à deux et plus. Plus c’est violent, meilleur c’est.
Les femmes prennent, testent, inspectent, matent, vérifient, enfoncent, plantent, perforent, dilatent les hommes, seules ou à plusieurs, ensemble, ou à tour de rôle. Plus elles sont nombreuses à pénétrer un homme plus celui-ci est satisfait.
Les hommes sont cloués au sol, retenus par des chaînes, ont des harnais dans la bouche, sont coiffés de masques à gaz, ont des poids au bout des seins, des couilles, sont flagellés, subissent toutes les ignominies.
Les hommes poussent des cris déchirants, crient, hurlent, gémissent de terreur, de douleur ou de plaisir, « Peu importe », là n’est pas le problème :« Ils adorent ça, les salopes », « C’est bon pour eux ».
Houuuu les belles scènes Sado/Masochistes que voici, que voilà ! Les soumis vont adorer... et moi en l'écrivant, je sentais la cyprine couler le long de mes cuisses.... rhôôô ! (C'est juste que ce mot "cyprine", passé de mode, n'est plus guère utilisé semble-t-il par toutes les femmes qui mouillent déjà à la sonnerie de leur téléphone... j'avais envie de le placer).
"En l'écrivant" disais-je... Et bien non, j'ai simplement fait un copier/coller, prenant soin de changer les genres : le masculin au féminin et le féminin au masculin.
La réalité se trouve ici. Il y en a des pages et des pages... Femmes fragiles s'abstenir, chiennes de garde.. pas mordre le mollet !