A chaud.
Hier je tombais dans une embuscade, que je raconterai en son temps... aujourd'hui je me lève avec la gueule de bois. Attention, pas la gueule de bois à faire la tronche et en vouloir à la terre entière, comme il m'arrive parfois de vouloir battre mon frère tant que je suis chaude, battre les couilles d'un homme (pas n'importe lequel quand même) avec une pelle à tarte, ou encore en milieu fétichiste du pied, battre la semelle... cette dernière ne menant pas à grand chose. Mais plutôt gueule de bois genre Pinocchio, joyeuse et lègèrement provocatrice... pas véritablement menteuse, mais inventeuse...
Et ce matin, après avoir lu certains weblogs, je suis toute indulgence... contrairement à mon habitude, pour celui qui se fait sucer deux fois en une heure par sa soumise (même la pauvre, qu'elle avait peur de mal faire), pour la Dominatrice qui est fière d'être Dominatrice sans être vénale (sic!)... rires. Fière de quoi, oh Saint Donatien, Alphonse, François ? peut-être se faire exploiter...
Indulgente aussi envers cette soumise qui rompt avec son Maître après deux mois de relation virtuelle et la pose du collier, et ce soumis qui se martyrise les couilles photos et vidéos pour n'otre plaisir m'sieurs dames !
Remplie d'indulgence et de compassion pour cette femme qui crie son besoin de reconnaissance à force de dire qu'elle est belle et intelligente, et tous ses lecteurs en commentaires qui reprennent comme un seul homme, c'est à dire... le renard de la fable "Oh oui, comme tu es belle et intelligente !"... Tout flatteur vit au dépens de celui qui l'écoute... ne manque plus à cette dame que la parole... (A quand Monsieur Canalblog le son sur les blogs ?).
Pas de paranoïa hein ! rien ne dit que cela vous concerne, et que tout ceci ne soit pas inventé...
Je suis tellement bien lunée ce matin, même si la lune c'était hier ou avant hier, que je ne saurais terminer sans envoyer ce lien d'une bordelaise... Une que j'adore, qui me fait du bien chaque jour...parce que elle me regonfle tous mes neurones, ceux que j'ai perdu dans la nuit, en raison de ma gueule de bois.
Je file me préparer une tartine.